vendredi 30 juillet 2010

Encore un abandon dû aux vacances dans quel e-monde vit-on?

Cette fois ça y est, c’est les vacances.

Pourtant, c’est le cœur lourd et rempli de remords que je pars…

Car la période des vacances d'été est aussi celle de nombreux abandons de nos compagnons à quatre pattes 3 w.

Nombreux doivent être les blogs et pages persos abandonnés dans la jungle du web.Seulement les statistiques en la matière se font discrètes, tout comme les campagnes de sensibilisations.

Les blogs les plus chanceux retrouveront une nouvelle adresse Ip d’accueil, un nouvel hébergeur et seront choyés.

Les autres seront laissés à leur triste sort, seul au monde virtuel, perdu dans la blogosphère. Sans savoir quoi répondre si on leur demande leurs identifiants.

Alors réfléchissons tous avant d’adopter une page perso. C'est vrai que c'est tentant, ça tient compagnie, c'est amusant, on s'amuse, mais on oublie souvent les contraintes !

Je vais donc abandonner durant plus de 15 jours Le Post et mon blog, je serais loin du web. 15 longs jours sans tapoter sur mon clavier ni rendre visite à Tata Paulette.

C’est criminel, je sais. J’ai l’impression d’abandonner Tata Paulette au bord d’une nationale.

Dans quel état vais-je retrouver mon blog en revenant ?

Affamé de post, billets et de commentaires, affaibli, déprimé ?

Qui va le soigner après un éventuel bug douloureux ?

Qui, pour le protéger des virus ?

Qui encore, pour lui faire une petite beauté quotidienne et ôter les éventuelles pétouilles ?

Personne. En plus il n’existe pas de pension pour blog !

Je pars donc avec la peur au ventre de retrouver mon blog à la Une des fait-divers :

"Un blog abandonné, au bord de la fermeture !

Les nettoyeurs du web interviennent. Les blogueurs se mobilisent pour le réanimer. La propriétaire est mise en examen !

La blogueuse, partie deux semaines en vacances a laissé son blog seul, sans l’alimenter de posts ni même laisser des instructions à un voisin pour prendre soin de lui. Retrouvé dans un état critique avec un blog rank au plus bas et des pouces stagnants, ces jours ne sont plus en danger.

La blogosphère est sous le choc."

Tata Paulette en garde à vue

Dessin de Echevin

( http://www.lepost.fr/article/2010/07/29/2168459_encore-un-abandon-du-aux-vacances-dans-quel-e-monde-vit-on.html#xtor=AL-235)

jeudi 29 juillet 2010

Brasov, le 28 juillet

Belle journée passée à Brasov avec Irina et Clément: souvenirs, rires, bonne bouffe roumaine. De la vraie! Et de la tzuika!! hmmm... pour Clément, je conduisais la voiture!

mercredi 28 juillet 2010

Voyage parmi les mots

Un jour, j'ai pris mon gros dictionnaire

je l'ai ouvert:
une voie s'y creusait:
une Invitation au voyage!

je me suis frayé chemin parmi les mots d'origine latine, grecque, germanique...
je me suis cognée contre des mots tels que haine, envie, égoïsme, froideur, mensonge...
je me suis blottie aux bras de l'amour, de la générosité, de l'altruisme, de la vérité, de l'amitié,...

j'ai bu un petit verre avec bonne humeur,
avec nuit et lumières
avec larmes et chanson
avec silences et paroles
avec musique
avec poésie
avec les grands Maitres


j'ai partagé des souvenirs avec tristesses et rires,
avec échecs et succès
avec chutes et ascensions
avec silences et paroles

j'ai erré...

j'ai voulu apprendre le sens des mots
mais je perdais le sens de la vie

alors,
en fermant doucement mon gros dictionnaire,
je me suis dit:
c'est quoi ça?

et je suis sortie dans la rue, en plein soleil

et

je t'ai trouvé:

tu m'attendais
depuis toujours
au coin de ma rue.

DROITS RÉSERVÉS

lundi 26 juillet 2010

LA VIE EST BELLE....

Même si traversée par des nuages et des tempêtes

Quoi de plus beau que de VIVRE?

Fondation HIPPOCRÈNE: concert: j'y étais Merci, OL

Soirée musicale exceptionnelle à la Fondation Hippocrène: PARFUMS D'ESPAGNE:

LAISSEZ LA MUSIQUE VOUS CHARMER
Moi, je dirai: BON ANNIVERSAIRE!

Recercada et Variations sur les Folies d'Espagne

Francisco Tarrega (1852-1909) : Gran Rota pour guitare

lundi 19 juillet 2010

gris habituel couleurs

d'un coup
le gris habituel disparut

les couleurs rebondirent de partout
envahissant les vides existentiels

les airs remplirent les fenêtres

le soleil des regards créa une nouvelle existence


DROITS RÉSERVÉS

dimanche 18 juillet 2010

Tout: métamorphoses ...

d'habitude
tout s'écroulait

d'un coup
un appel remonta

tout

mardi 13 juillet 2010

14 juillet

BONNE FÊTE
À TOUS LES FRANÇAIS
À TOUS CEUX QUI AIMENT LA FRANCE
À TOUS CEUX QUE J'AIME!


Je me suis téléportée à Paris, grâce à un sorcier...

vendredi 2 juillet 2010

SOIRÉE MUSICALE

Une guitare
Une puissante voix douce
Baudelaire

Madrid, Madrid...

Joie et larmes

Photos
Champagne
Mariage des fleurs?
Madrid,
Temps transgressés
Couleurs

SPLENDEURS

DROITS RÉSERVÉS

jeudi 1 juillet 2010

MERCI, FREDERIQUE

Merci Frédérique,

Grâce à toi, les élèves que j'ai encadrées pour le stage linguistique à Paris, au mois de juin 2010, ont pu voir le Musée Georges Pompidou.

Nous ne pouvons que te remercier pour ta générosité que j'ai ressentie mille fois, mais pour la rendre les mots sont trop pauvres.

Merci pour ta bonne humeur, pour les beaux moments partagés, pour nos rires et nos tristesses, pour ta patience d'être toujours à l'écoute de mes pensées un peu tourmentées...

Merci pour les rayons de culture que tu as apportés dans nos existences.

RÉALITÉ

ponts
terrasses
cafés
musique
rayons de soleil dans la grisaille quotidienne
couleurs resplendissantes:
communion...


DROITS RÉSERVÉS

IMAGINER


l'intérieur d'un dé
le ruissellement éternel de la pluie
cassant toute réalité au-delà de la fenêtre

le froid partout
un glacier figeant âme et esprit

une voix chantonnant votre nom:
tout le glacier s'envole en éclats...


DROITS RÉSERVÉS

Grand merci à un très bon ami: un souvenir unique de Paris ...




Madrid, Madrid

by Nilda Fernández

Album: Nilda Fernández

Une tache d'ombre et dans le désert
Des traces de poudre et de safran
Des taxis blancs, de claquements de portières
Un vrai mélange de sentiments

Madrid, Madrid
Le prix que je paie
C'est encore quelques heures sans sommeil
Pour me souvenir de toi

Puerta del Sol station du métro
Sortie vers la Plaza Mayor
Je suis à l'heure je crois bien que j'en fais trop
Une vraie doublure dans un décor

Madrid, Madrid
Tu peux me faire signe
Tu peux brouiller mes mots sur la ligne
Quand je parlerai de toi

Bonsoir y buenos días
(et jusqu'au dernier détail)
Miroir si has de ser mí espía
(ses yeux derrière un éventail)

Madrid, Madrid
Les choses que je pense
Ont un petit air d'accordéon rance
Quand elle n'est pas avec moi

Madrid, Madrid
Le prix que je paie
C'est encore quelques heures sans sommeil
Pour me souvenir de toi

Bonsoir y buenos días
(et jusqu'au dernier détail)
Miroir si has de ser mí espía
(ses yeux derrière un éventail)

Toda una tarde en el Retiro
Echando piedras a un farol
Els meus amors se han derretido
Con tanta luz y tanto sol

Madrid, Madrid
Me pongo triste
Al ver lo bien que tu te vistes
Si se han a reir de ti

Une tache d'ombre et dans le désert
Des traces de poudre et de safran
Des taxis blancs, de claquements de portières
Un vrai mélange de sentiments

Madrid, Madrid
Me desesperas
De tanto mover las caderas
Sa van a reir de ti

(source: http://fr.lyrics-copy.com/nilda-fernandez/madrid-madrid.htm)

On n'a pas tous le numéro de téléphone de la chanson... Mais seulement les meilleurs amis connaissent le bon numéro: 004...


Rien ne vaut un regard amical
et un appel
Quand vous êtes en détresse

Mes Yeux Dans Ton Regard
Paroles Nilda Fernández

Quand tu veux tu m'appelles
Tu connais mon numéro
45 12 20 00

Quand tu veux tu m'entraînes
En face de toi dans un bar
Comme autrefois j'ai envie de te voir
De voir, de voir...
Mes Yeux Dans Ton Regard"

Mais s'il faut pour te plaire
Devenir presque un idiot
Je ne suis pas celui qu'il te faut

Laisse tomber ce qui pèse
Oublie les adieux dans les gares
Laisse-moi seulement l'envie de revoir, revoir...

Quand tu veux tu m'appelles
Tu connais mon numéro
45 12 20 00

Et quand les années qui viennent
Te feront casser les miroirs
Garderas-tu l'envie de revoir, revoir...

(source:http://www.greatsong.net/PAROLES-NILDA-FERNANDEZ,MES-YEUX-DANS-TON-REGARD,100681211.html)

Nous, les humains? Vous les humains?

On me racontait l'autre jour combien de mal pouvaient se faire les humains. On se demande même s'il n'y a pas une sorte de concours de méchancetés, de mensonges...
Souvent, plus on ment plus on se croit courageux.
Souvent, plus on fait du mal, plus on se croit fort.
D'où ce désir de blesser l'autre? D'où cette satisfaction de voir l'autre tombé au lieu de vouloir bâtir? Bâtir ensemble. Nous bâtir. À force de construire les autres, on se construit soi-même. À force de découvrir la beauté des autres, on se découvre soi-même. Quelle autre beauté que l'esprit humain, l'âme humaine à la quête de son accomplissent, de sa paix après avoir traversé des angoisses, des tourments, des doutes? Et quoi de plus beau que de réaliser ensemble?

La légende de l'âme sœur n'est pas une légende. Rarement la vie nous offre des chances, ou, peut-être, nous savons rarement décrypter les chances que la vie nous offre. Saisir sa chance, le vrai bonheur! Lutter pour se l'approprier, quel bonheur! Le chemin menant à l'aboutissement est plus intéressant que le moment où l'on atteint son but.

Par la suite, quel régal de se miroiter dans l'autre, dans son âme, dans son esprit, dans son cœur durant ce voyage initiatique de re-découverte!


Bellissima solitaire:



Sans commentaire: tout est dans la chanson et dans nos vies