Il y a quelque temps, je me demandais à quoi bon les blogs...
J'en ai trouvé la réponse: on vous connaît, on lit parmi vos lignes. On croit découvrir ce qui n'y est pas. C'est comme dans la critique littéraire: des écrivains qui n'avaient jamais rêvé d'écrire ce que ces critiques pensent y décrocher.
Mais, par la suite, on vous frappe. De fausses larmes pour combler des vides, pour duper. Des tremblements pour convaincre. J'ai rencontré des hommes qui y croient. Les pauvres! j'aimerais leur dire qu'ils se trompent. Comme ils ne croient, vu leur esprit macho, je les laisserai se convaincre tout seuls de la fausseté. Ce sera, peut-être, trop tard. Un faux monde aura déjà élevé ses murailles et les étouffera.
À bon entendeur, salut!
mardi 31 mai 2011
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